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Objet
: La
Police d'Ottawa
: des
imbéciles ou des menteurs ?
.
.
En dedans d'une
trentaine de
minutes après avoir
téléphoné
le
bureau de Chef de Police d'Ottawa
afin d'être dédommagé
pour
des chefs d'accusation qui se sont
avérés faux il y a
plus
de 10 ans, l'unité
pyschiatrique de la Police d'Ottawa
composée
de deux hommes et de
deux femme avec bonbonne
d'oxygène
et civière se
sont présentés à la porte du
Président/Chef
du Parti
Égalité du Canada, Kenneth Sélin,
(Plate-forme politique : http://www.eh-ok.ca)
Leur but fut de
l'incarcérer
dans une institution
mentale.
La Police affirme
à mainte
reprises que M. Sélin s'enrage
facilement
et souvent et qu'il perd
contrôle de la suite
de
ces idées ce qui est
totalemenet faux et diffamatoire.
M. Sélin
est cinq fois
diplômé universitaire de l'Université
d'Ottawa
avec mention "magna cum laude".
Certes, M. Sélin a porté plainte.
Voici le rapport
déconcertant
de la Police d'Ottawa commenté
par
M. Sélin relatif à sa
plainte.
(M. Sélin
croit que
c'était un coup préparé bien d'avance
par
le Gouvernement du Canada de
concert avec le Gouvernement
des
É.-U.)
~~~~
Service de police
d'Ottawa
C.P.9634,
Succursale T
Ottawa
(Ontario)
K1G
6H5
Le
7 avril 2006
Monseiur Kenneth
Sélin
704-125,
rue Stewart
Ottawa
(Ontario)
K1N
6J3
Objet : Plainte publique no 05-0407
Monsieur,
Le 27 octobre 2005,
vous avez
déposé une plainte publique concernant la
conduite
de l'agent William Barlow,
membre du Service de police d'Ottawa.
Comme
vous le savez, le sergent
Gleason, de la Section des normes
professionnelles,
a mené une
enquête relativement à votre plainte
conformément
aux dispositions de
la "Loi sur les services policiers".
..
CONTEXTE
==========
Dans
votre lettre, vous déclarez
vouloir porter plainte contre le chef du Service
du
police d'Ottawa, M. Bevan, affirmant
que celui-ci avait envoyé une équipe
psychiatrique
de quatre personnes (deux
hommes et deux femmes) munie
d'une
civière et d'un
matériel d'inhalation d'oxygène à
votre domicile le
27
avril 2005.
Vous expliquez
qu'environ 30 minutes
plus tard, vous avez demandé à un
membre
de la Section des normes
professionelles si vous pouviez porter
plainte
contre le Service de police
d'Ottawa. Vous vouliez savoir la Section
des
normes professionnelles si vous
pouviez être dédommagé pour une fausse
accusation
de harcèlement
portée il y a 10 ans.
Vous affirmez qu'une
personne qui ne
s'est pas identifiée vous a
téléphoné et
vous
a dit que le chef du Service de
police lui avait donné instruction de
s'occuper
de votre affaire. Vous
déclarez que cette personne a exigé de vous
voir
tout de suite.
Vous lui avez
expliqué que
vous deviez partir pour votre travail et que cette
personne
avait raccroché sans
vous donner son nom. Vous affirmez que dans
les
30 minutes qui suivent, soit vers
15h, cette personne s'est présenté à
votre
porte accompagnée de trois
autres personnes.
Dans votre lettre,
vous dites
souhaiter être dédommagé pour cet
incident et les
fausses
accusations portées
contre vous et vous réclamez 500 000 $ pour
chacun
des motifs invoqués.
..
ENQUÊTE
========
Nos
dossiers indiquent que le 27 avril
2005, vers 10h55, un appel de service a
été
effectué par
un membre civil du Service de police d'Ottawa. Les
observations
accompagnant cet appel de
service indiquent que vous appeliez
sans
cesse au bureau du chef de police,
que vous harceliez les employés civils
de
ce bureau. Les observations
indiquent en outre que vous paraissiez
mentalement
instable et que vous
refusiez de cesser vos appels.
Commentaires :
1.
L'appel a eu lieu vers 14h30.
2.
J'ai dû faire trois appels
parce que la personne répondant au
téléphone
__a
accroché deux fois par manque de politesse.
3.
Je voulais parler à un
francophone. On m'a dit que je pouvais parler au
__sergent
Meilleur, mais j'ai été
obligé de parler en anglais à
__sergent
Bell après avoir attendu quelque 5
minutes au téléphone
__pour
parler au sergent Meilleur. Sergent Bell a dit
qu'il pouvait
__m'aider
seulement si l'incident avait eu lieu
pendant les derniers
__60
jours.
4.
Remarqez le délai
significatif : la Police a répondu à la plaint
SIX !
__MOIS
PLUS TARD. Certes, c'est pas du tout
sérieux leur affaire.
__Pourquoi
s'attarder tant d'y répondre.
Déjà là, leur affaire est
__louche.
..
Membre Civil no 1
==============
Le
membre civil no 1 a expliqué
qu'elle a reçu trois appels de votre part et
qu'elle
vous trouvait mentalement
instable.
Le membre civil no 1
a
précisé que vous appeliez au bureau du chef du
Service
de
police pour vous plaindre du fait
que vos prestations d'aide sociale avait
été
suspendues. Le membre
civil no 1 a déclaré que vous lui aviez dit que
c'était
la
faute de la Police d'Ottawa si vous
n'étiez jamais devenu maire d'Ottawa.
Le membre civil no 1
a
déclaré qu'elle vous a demandé de
mettre fin
à vos
appels
au bureau et que vos
problèmes n'avaient rien à voir avec le Service de
police
d'Ottawa. Le membre civil no 1 a
précisé que vous étiez devenu
très
perturbé
et que vous avez
commencé à crier que vous ne mettiez pas fin
à vos
appels
et que vous aviez le droit
d'appeler aussi souvent qu'il vous plairait.
..
Commentaires :
1.
Ses propos sont tout à fait
faux, diffamatoires et mensongers.
2.
Je ne touchais aucune prestation
d'aide sociale car je travaillais à ce
__moment
là à GPC Research.
3.
Je n'ai jamais
démontré un intérêt quoi que
ce soit relatif
à scène
__politique
municipale.
4.
En tout temps j'ai joui d'une bonne
santé mentale ayant à mon actif
__cinq
diplômes universitaires avec mention de
"magna cum laude".
__En
plus, je suis multilingue et président de
ma propre compagnie,
__K+.
5.
Dans cette lettre de la Police ont
dit que j'appelais sans cesse
__et
trois fois.
C'est soit l'un ou l'autre, n'est-ce pas ? Soit
__j'appelais
sans cesse ou j'appelai trois fois. Ou se trouve la
__vérité
?
6.
Qui est-ce ce membre civile no 1 -
fantôme ? (Ha ! Ha !)
..
Le
détective William Barlow
======================
On
a demandé au détective
William Barlow de donner suite à votre plainte.
Dans
sa réponse, le
détective William Barlow a expliqué que, le 27
avril
2004, un
membre
civil du bureau de direction du
Service de police d'Ottawa l'avait
appelé
pour lui faire part de
ses préoccupations relativement à vos appels au
bureau
du chef de police. Le membre
civil l'a informé que vous aviez appelé
au
bureau de direction relativement
à votre chèque d'aide sociale et que vous
vous
aviez expliqué chef Bevan
qu'il était responsable du fait que vous soyez
pas
devenu maire d'Ottawa en raison de
votre passé. Le détective Barlow a
communiqué
avec la Section des
normes professionnelles, où on l'a informé
que
vous aviez vous-même
communiqué à cette section relativement
à vos
difficultés.
Le
détective Barlow a
expliqué que la nature de cette communication
était
celle
d'une personne souffrant d'une
maladie mentale. L'incident a été
étudié
l'après-midi
même par
l'équipe d'urgence mobile de l'Hôpital d'Ottawa,
à
laquelle
un practicien avait
été affecté. Le détective
Barlow a
précisé qu'il avait
été
décidé
qu'une visite à votre domicile était la meilleure
façon de faire un
diagnostic
en ce qui vous conerne et il
a déclaré qu'il vous avait d'abord
appelé
afin de fixer un
rendez-vous.
Le
détective Barlow a
déclaré qu'il avait communiqué avec
vous et vous a
informé
de son identité
ainsi que de la raison se son appel. Le détective a
indiqué
qu'au début vous
étiez rationnel, que vous souhaitiez avoir une
explication
relativement au fait qu'il
n'existait pas de rapport de police
remontant
à un incident survenu
plusieurs années auparavant. Le détective
Barlow
a expliqué que vous aviez
parlé de mises en accusation par les
policiers,
d'injonctions, de votre
ancienne femme et de vos enfants, etc. Le
détective
Barlow a
déclaré que vous aviez consenti à une
visite des
membres
de
son équipe mais que vous
aviez changé d'idée, déclarant que
vous ne
vouliez
pas les voir parce que vous
n'aviez pas confiance en eux. Le détective
Barlow
a précisé que vous
êtes devenus inquiet et confus, que vous aviez
parlé
des
Maçons et des médias
et abordé d'autres sujets sans lien avec votre affaire.
Le
détective Barlow vous a
offert d'être votre personne-ressource si vous
souhaitiez
obtenir l'aide de la police
et il vous a demandé de mettre fin à vos
appels
au bureau de de direction du
Service de police d'Ottawa. Le détective
Barlow
a indiqué que vous
êtes mis en colère, que vous avez
déclaré
être
libre
d'appeler qui vous vouliez. Le
détective Barlow a indiqué que vous vous
êtes
mis à crier si fort
au téléphone que tout le bureau pouvait vous
entendre et
il
a précisé que le
practicien a déclaré que vous sembliez souffrant
et que
vous
deviez
être vu par un
professionnel.
À 15h15,
le détective
Barlow s'est présenté à votre
domicile,
accompagné du
practicien
et d'un résident
d'Hôpital d'Ottawa. Le détective Barlow a
expliqué
que vous étiez
en colère, que le Service de santé mentale
était
sur
place,
que vous ne vouliez pas ouvrir
votre porte et que vous avez demandé
plusieurs
fois en criant à
l'équipe du Service de santé mentale de s'en
aller,
affirmant
qu'il s'agissait de
harcèlement de la part de la police. Le détective
Barlow
a indiqué qu'après
quelques minutes, le practicien, le résident et
lui-même
ont quitté les
lieux sans vous avoir vu. Le détective Barlow a
expliqué
que le practicien
était d'avis que vous souffriez d'une maladie mentale,
que
vous étiez
maniacodépressif et que vous deviez être vu par un
professionnel.
Le détective
Barlow a déclaré que, étant
donné que vous
n'avez
pas
ouvert la porte, le practicien ne
pouvait pas vous inscrire sur un formulaire
réglementaire
en vertu de la
"Loi sur la santé mentale".
Le
détective Barlow a
nié d'être présenté
à votre
résidence munie d'une civière
et
d'un matériel d'inhalation
d'oxygène.
Commentaires :
1.
Tout a eu lieu en dedans d'une
trentaine de minutes et non en dedans de cinq
__heures
comme
prétend faussement ce rapport truffé de mensonges.
2.
Je n'ai jamais au grand jamais
parlé au Chef de Police.
3.
Le détective Barlow a
raccroché lorsque je lui ai demandé de
s'identifier.
4.
Le détective Barlow a dit que
si je voulais faire affaire avec la Police
__d'Ottawa
qu'il
fallait passer par lui et il m'était défendu
d'appeler
__la
Police
d'Ottawa autrement et que les préposés aux
téléphones avaient
__reçu
des instructions de ne plus faire acheminer mes appels.
5.
Le détective Barlow a dit
qu'il voulait me voir sur le champs et je lui
__a
dit que je
me préparais pour aller au travail et donc,
n'étais pas
__disposé
à le voir.
6.
Une vingtaine de minutes
après mon entretien téléphoniqu avec
lui quatre
__personnes
(deux hommes et deux femmes et non trois personnes comme est
__prétendu
dans ce rapport farfelu) se sont présentés
à ma
porte d'apparte-
__ment
avec
civière et bonbonne d'oxygène aux dires de
Beverly Greg,
une
__des
locataire
sur l'étage qui a vu de près le
déroulement de
l'incident.
7.
À l'arrière-plan
jouait les chansons de Julio Iglesias et j'étais en bonne
__humeur
à cause de ça. Je leurs ai dit CINQ FOIS en
anglais :
"This is
__is
VERY
SERIOUS HARASSMENT. Please go away."
8.
Eux me posaient à travers la
porte ces questions-ci : "Who is the doctor that
__is
treating
you? What hospital do you go to? Just open the door and we
__will
go away.
etc."
9.
Ils restèrent - au moins -
UNE VINGTAINE de minutes avant de quitter les lieux.
10.
Contrairement aux dires de la
Police, je ne me mets pas en colère.
11.
Contrairement au diagnostic
erroné du médecin qui m'a jamais vu, je n'est
__jamais
été aux prises avec la maladie
maniacodépressive
étant presque
__toujours
de
bonne humeur. Au fait, j'étais ami avec le mondialement
célebre
__psychiatre
d'Ottawa et professeur de l'Université d'Ottawa, Dr Victor
Syrinski.
__En
aucun temps
m'a-t-il dit que je souffrais d'une maladie mentale quelconque.
__L'allégation
que je suis ou étais maladie mentale de la part de la Police
__d'Ottawa
est
d'une bétise extrême en plus est de la
défamation
par écrit.
12.
Je ne me souviens pas d'avoir
abordé le sujet des francs-maçons avec le
__détective
Barlow. Mais l'histoire canadienne nous démontre que notre
__système
judiciaire est formé en grande partie même
aujourd'hui de
francs-
__maçons
comme dans tout autre pays du Commonwwalth et nous sommes pas
__une
démocratie à cause de ça parce que
ceux qui
mènenet la bureucratie
__gouvernementale
sont aussi majoritairement des francs-maçons et j'ai
__constaté
en ayant eu quelque 70 jobines dans une vingtaine de départe-
__ments/ministères
que là où on abuse le plus de la bourse publique
il
__y
a une
densité de francs-maçons et de paire il y a une
culture d'
__exploitation
sexuelle de la femme.
13.
Ma femme a été
violée et exploitée sexuellement au Centre de la
réadaptation
__qui
faisait
partie de l'Hôpital Royal d'Ottawa (une institution pour les
__malades
mentales). Lorsque je lui ai dit d'aller de l'avant avec des chefs
__d'accusation
auprès de la Police son patron l'a obligée de me
mettre
dans
__l'hôpital
psychiatrique pour une trentaine de jours.
..
Le sergent Luc
Gleeson
===================
Le
sergent Luc Gleeson s'est entretenu
avec vous le 20 octobre 2005 quand
vous
avez appelé la Section des
normes professionnelles pour vous plaindre
que
le chef Bevan avait mis fin en
raccrochant à votre conversation
téléphonique
avec lui le
27 avril 2005. Au cours de cette conversation avec le
sergent
Gleeson, vous êtes devenu
très agité et vous avez vous-même
interrompu
la conversation en
raccrochant. Dix minutes plus tard, vous avez
rappelez
le sergent Gleeson et lui avez
laissé un message. Le sergent Gleeson
vous
a rappelé et vous a
expliqué le processus à suivre en ce qui concerne
les
plaintes
du public en vertu de la "Loi
sur les services policiers de l'Ontario".
Le 27 octobre 2005,
le sergent
Gleeson a reçu un appel de votre part. Au cours
de
cette conversation, vous lui avez
expliqué que vous aviez déposé votre
plainte
auprès d'un membre du
Service policier d'Ottawa et que vous désiriez
savoir
où en était votre
affaire. Le sergent Gleeson vous a expliqué que votre
plainte
n'avait jamais
été reçue par la Section des normes
professionnelles et
vous
a demandé de lui adresser
par télécopieur une copie de votre plainte pour
en
assurer la réception. Le
sergent Gleeson a communiqué de nouveau avec
vous
environ une heure plus tard pour
confirmer la réception de votre plainte.
Le sergent Gleeson a
communiqué avec vous le 10 mars 2006 afin d'examiner
votre
plainte et de fixer un
rendez-vous en vue d'une résolution possible de
votre
plainte. Vous avez rappelé
le 11 mars 20056 et avez laissé un long
message
au cours duquel vous
déclariez que vous aviez eu des difficultés
concernant
le dépôt de
votre plainte en octobre 2005 et que, apparemment,
cette
plainte n'avait jamais atteint la
Section des normes professionnelles.
Puis vous
êtes
êcarté du sujet et avez commencé
à parler
d'un dossier
psychiatrique
concernant James O'Brien.
Vous avez affirmé dans
votre
message
téléphonique que M. O'Brien avait
été
traduit devant un tribunal
pénal
pour des questions qui
selon vous étaient des absurdités. Vous avez
ajouté
que vous demandiez
à être dédommagé de vos
pertes. Vous avez
déclaré
que
vous ne vouliez plus continuer
à parler de votre affaire et que vous
demandiez
une réponse
écrite. Puis vous êtes devenu agité,
soutenant que
la
police
fraudait le public en mettant
les contribuables en accusation et vous
avez
prétendu que vous
étiez le président du Partie
Égalité du
Canada et
que
la police allait voir ce que vous
alliez faire concernant tous ces affaires.
Commentaires :
1.
Les remarques du sergent Gleeson
sont intentionnellement décousues quant
__à
moi.
2.
J'ai déposé ma plainte
le 19 octobre auprès de la Commission civile
__des
services policiers d'Ontario. (Voir http://www.eh-ok.ca/compensation.htm.)
__Dans
leur lettre datée le 7 novembre 2005, M. Farideh Irandoust,
__dit
et je cite la lettre, "Nous avons envoyé votre lettre au
service
__de
police d'Ottawa pour étre suivi." La Police d'Ottawa n'a
jamais
__confirmé
sa réception. Pourquoi ?
3.
Pour en assurer un suivi de la part
de la Police j'ai livré une autre
__plainte
semblable (Voir http://www.k-x-4u.com/compensation_.htm)
__en
main propre vers 16h50 le 25 octobre. Le policer no 1707, Mike
__Giddons,
à la Station de Police d'Ottawa sur la rue Elgin a
signé
__un
accusé de réception que j'ai redigé
moi-même. Or, prennant pas
__de
chance, je communiquai avec le sergent Gleeson pour en avoir
__des
nouvelles DEUX JOURS PLUS TARDS. Le sergent confirma à ma
__grande
surprise qu'il ne a pas reçu ma plainte. Donc, je lui
__ai
envoyé une copie par télécopieur cette
journée-là.
2.
Alors, j'ai déposé ma
plainte auprès la Police d'Ottawa au mois d'octobre 2005
__et
au mois 2006 le sergent Gleeson veut m'en parler et il a attendu
__un
mois plus tard avant de m'envoyer le rapport par écrit.
Pourquoi
__si
tard ? Cette affaire est immanquablement louche sous tous ses
__aspects
et souligne les manigances - voire la mauvaise foi - de la Police
__d'Ottawa
de ne pas vouloir me dédommager pour des faux chefs
d'accusation
__d'il
y a plus de 10 ans qui m'a épuisé
financièrement
pour rien : tout
__ça
parce qu'ils ont refusé de faire un rapport policer
convenable
avant
__d'aller
de l'avant avec des faux chefs d'accusation. Ils ne sont pas
__venu
me voir pour savoir ma version des faits. Et ils ont fait la
même
__chose
cette année à DEUX reprises ! C'est de
l'incompétence par des
__policers
PEU INSTRUITS qui ont à peine un petit d'instruction post-
__secondaire
- ou pas du tout - qui par le manque de compétences
à
__mon
avis épuisent la bourse publique pour des choses anodines
qui
__sont
sans importance en mettant n'importe qui en était
d'arrestation :
__il
faut avoir du sérieux, il avoir une intention criminelle.
Enfreindre
__la
loi en soi n'est pas fort souvent sérieux.
3.
En réponse à ce
rapport qui vise à me diffamer (Je suis cinq fois
diplômé
__universitaire
avec mention "magna cum laude".), j'ai exigé une revue
__de
ce rapport déconcertant par la Commission civile des
services
__policiers
d'Ontario dans ma lettre datée le 5 mai 2006. Au nom de
__la
Commission Mme Farideh Irandoust dans sa lettre datée le 16
mai
__2006
m'a promis une décision par la Commission par
écrit.
..
CONSTATATIONS:
===============
Allégation
que le chef Bevan a
envoyé une équipe psychiatrique à
votre
domicile
le 17 avril 2005 :
Un appel de service
a
été lancé après que vous
avez appelez au
bureau du chef
de
police et parlé avec un
membre civil affecté au bureau de direction pour
vous
plaindre que votre chèque
d'aide sociale avait été supprimé.
Le membre civil no 1
a
déclaré que vous lui aviez dit que
c'était la
faute de la
police
d'Ottawa si vous n'êtes
jamais devenu maire d'Ottawa. Le membre civil
no
1 a déclaré qu'il vous
avait demandé de mettre fin à vos appels au
bureau et
que
vos problème n'avaient rien
à voir avec le Service de police d'Ottawa. Le
membre
civil no 1 vous a décrit
comme étant perturbé, précisant que
vous
vous
êtes mis à crier
d'appeler aussi souvent que vous vouliez.
Étant
donné votre
comportement et vos problèmes apparents de santé
mentale,
un
appel de service a été
lancé au au Service de santé mentale pour un
suivi.
C'est le membre
civil du bureau de
direction qui a demandé l'appel de service,
et
non pas le chef Bevan.
Le
détective Barlow a
expliqué que la nature de ces communications
était celle
d'une
personne souffrant de maladie
mentale, et votre affaire a été
examinée
l'après-midi
même par
l'équipe d'urgence mobile de l'Hôpital d'Ottawa,
à
laquelle
un praticien avait
été affecté. Le détective
Barlow a
déclaré qu'il avait
été
décidé
qu'une visite à votre domicile était la meilleure
façon de faire un
diagnostic
en ce qui me concerne et le
détective Barlow vous a appelé pour
fixer
un rendez-vous.
Cette allégation n'est pas fondée en raison de
l'insuffisance de preuve.
Allégation
qu'une personne a
communiqué avec vous sans s'identifier et
vous
a déclaré que le
chef de police luis avait donné instruction de
s'occuper
de votre affaire :
Le
détective Barlow a
déclaré qu'il avait communiqué avec
vous. Il s'est
identifié
et vous a
expliqué la raison de son appel. Le détective
Barlow a
indiqué
que vous étiez au
début rationnel, que vous avez déclaré
vouloir une
explication
et savoir pourquoi il
n'existait pas de rapport de police remontant à
un
incitant survenu plusieurs
années auparavant. Le détective Barlow a
expliqué
que vous avez
parlé de mises en accusation par la police,
d'injonctions,
de votre ancienne femme
et de vos enfants. Le détective Barlow
a
déclaré que vous avez
consenti à une visite des membres d'équipe
d'urgence
mobile mais que vous avez
changé d'idée, déclarant que vous ne
vouliez
pas les voir, parce que vous
n'aviez pas de confiance en eux.
À 15h15,
le détective
Barlow s'est présenté à votre
domicile,
accompagné du
practicien
et d'un résident
d'Hôpital d'Ottawa. Le détective Barlow a
expliqué
que vous étiez
en colère du fait que l'équipe d'urgence mobile
se soit
présenté
à votre
domicile et vous avez refusé d'ouvrir votre porte, demandant
plusieurs
fois en criant à
l'équipe d'urgence mobile de partir, déclarant
qu'il
s'agissait
de harcèlement
policier. Le détective Barlow a indiqué
qu'après
quelques
minutes, l'équipe et
lui-même sont partis sans vous avoir rencontré.
Le
détective Barlow a
expliqué que le practicien était d'avis que vous
souffriez
de
maladie mentale, que vous
étiez maniacodépréssif et que vous
aviez besoin
de
consulter. Le détective
Barlow a déclaré qu'étant
donné que vous
n'avez
pas
ouvert la porte, le practicien ne
pouvait pas vous inscrire sur un formulaire
réglementaire
en vertu de la
"Loi sur la santé mentale".
Je conclus que votre
allégation est sans fondement en raison d'une insuffisance
de
preuve.
..
Commentaires :
1.
D'abord, la personne que m'a
téléphoné un dixaine de minutes
après mon
entretien
__avec
sergent Bell refusa de s'indentifier.
2.
Je n'ai jamais inviter
l'équipe psychiatrique de la Police qui avait comme but
__déclaré
de m'incarcer dans l'hôpital mental ce qui m'est
arrivé au
mois
__d'août
1987.
3.
J'ai informé Amnestie
internationale au préalable de l'intention du Gouvernement
__de
m'incarcérer dans l'hôpital mental. Je m'y
attendais.
Donc, j'ai fait
__attention
de me comporter comme il faut en évitant de crier ou
d'être en
__colère.
4.
L'affirmation dans ce rapport que je
suis maniacodépréssif est tout à fait
de
__l'ordre
criminel et constitue une défamation par écrit,
un crime.
5.
Le fait que les policier sentent
libres de mentir comme bon leur semble indique
__clairement
que nous vivons dans un état policier ou la Police terrorise
les
__citoyens.
Moi, je refuse d'être terrorisé par la Police,
surtout par
ce corps
__policier
reconnu pour son incompétence endurcie et composé
de
membres avec
__très
peu ou pas d'éducation post-secondaire qui gagnent des
salaires
mirobolants.
__Ces
rapports mensongers sont responsables de l'incarcération de
nombreux
__citoyens
aux frais
astronomiques des
contribuables. C'est claire dans mon esprit
__
que le
système
judiciaire de
concert avec la Police et le Procureur de la Couronne
__ fraudent
délibérément
les contribuables en traduisant des cas dérisoires -
__peu
sérieux - devant les tribunaux sans qu'il y ait une
intention
criminelle.
__Le
fait d'avoir enfreint la loi n'est pas en soi une raison pour traduire
__un
cas devant les tribunaux. La justice est mal servie lorsque l'on permet
__à
la Police de traduire n'importe quoi devant les tribunaux dans le but
de
__créer
du travail pour la Police, le système judiciaire et les
avocats.
Au fait,
__notre
système judiciaire est devenu cancéreux lorsque
l'on
jette un coup
__d'oeil
à sa croissance toujours de plus en plus grandissante en
dépit du fait
__que
le taux de la criminalité est à la baisse. Quelle
absurdité ! On parle
__de
dépenses de l'ordre de millards de dollars pour rien. Quelle
mauvaise
__gestion
de la bourse publique. Pourquoi ?
.
..
CONCLUSION :
============
M.
Selin, veuillez comprendre que les
allégations d'inconduite sont traitées
très
sérieusement par le
Service de police d'Ottawa et par les agents.
Je suis convaincu
que le
détective Barlow et le membre civil du bureau de
direction
ont fait en tout temps preuve
de bonne foi dans l'exécution de leurs
responsabilités.
Après
avoir examiné
sérieusement tous les faits de cette affaire, il est en mon
pouvoir
de déclarer que les
allégations ci-dessus sont sans fondement en raison
d'une
insuffisance de preuve. Je vous
informe que nous donnons instruction à
tous
les employés du Service du
police d'Ottawa d'interagir avec le public
d'une
façon professionnelle.
..
DÉCISION :
=========
Conformément
au paragraphe 64(6)
de la "Loi sur les services policiers de
l'Ontario",
aucune autre mesure ne sera
prise relativement à cette plainte.
Si vous avez des
questions,
n'hésitez pas à communiquer avec le sergent
Gleeson,
au numéro 236-1222,
poste 5949,ou moi-même, poste 5830.
Si vous
n'êtes pas satisfait
de ma décision, vous pouvez demander une révision
de
votre plainte par la Commission
civile des services policiers de l'Ontario.
Cette
commission relève de la
province de l'Ontario et n'est pas associée au
Service
de police d'Ottawa. Vous pouvez
communiquer avec la Commission
civile
des services policiers de
l'Ontario par écrit, à l'adresse suivante : 25,
rue
Grosvenor,
ler étage, Toronto
(Ontario), M7A 1Y6, par téléphone,
gratuitement,
au numéro 1 888
515-5005 ou par télécopieur, gratuitement, au
numéro
1 888 311-7555.
Si vous
décidez de demander
une révision par la Commission civile des
services
policiers de l'Ontario, vous
devez le faire dans les 30 jours
suivant
la réception de la
présente lettre.
Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes meilleurs sentiments.
Vincent Westwick
Section
des normes professionnelles
c.c. : Agent William
Barlow
Surintendant Peter Crosby
~~~
Kenneth
Sélin
~~~
B.A.(Psychologie),
B.A.(Espagnol), B.Admin.,
B.Comm.(Spécialisation),
B.A.(Italien) "magna cum laude"
~~~
Président/Chef
du Parti Égalité du Canada
http://www.eh-ok.ca
~~~
DÉcriminalisons le Gouvernement :
à TOUS ! les niveaux.