Ottawa, le 12 août 2004
Évêques
de la
Conférence des évêques du Canada
a/s Secrétaire général
2500,
promenade Don Reid
Ottawa K1H 2J2
Mes
frères dans le Corps
mystique du Christ,
Le
but de cette lettre est de vous
exhorter de servir de votre authorité
en tant que baptisé et pasteurs de l'Église
sainte,
épouse du Christ,
pour dénoncer la corruption gouvernementale d'une part et de
me
dépanner d'autre part.
Vous devez dénoncer les choses suivantes :
- le fait
que comme
dans tous les
pays du Commonwealth les
francs-maçons mènent la bureaucratie à
huis-clos
et que
presque tous les juges et procureurs de la Couronne de sexe
masculin y compris les procureurs généraux sont
des
francs-
maçons ;
- lorsque les rapports
des
vérificateurs généraux provinciaux et
fédéraux sortent les responsables des abus de la
bourse
publique ne sont ni limogés ni mutés à
un poste
inférieur mais
au contraire reçoivent d'augmentation salariale ;
- le piètre
montant
d'argent que le
Gouvernement donne à un
assisté social, 520 $, ne peut subvenir à ses
besoins et
contre-
vient l'Article 7 (Le Gouvernement s'engage à s'assurer
notre
sécurité.) et l'Article 12 (Il s'engage qu'on
n'est pas
puni indûment.)
de la Charte canadienne des droits et libertés (qui nous a
été
donné par le très honorable Pierre Elliott
Trudeau) et
constitue
un crime en vertu de l'Article 228 du Code criminel canadien.
C'est de la négligence criminelle : nuire à
l'esprit de
quelqu'un
(En anglais : Criminal Negligence, Killing of the Mind.) ;
- neuf (9) provinces ne
respectent pas
la
Constitution canadienne
qui veut que les francophones et les anglophones puissent vivre
n'importe où
au
Canada
selon leurs moeurs respectifs. (C'est
clair que le Gouvernement n'est pas responsable n'ayant jamais
respecté la Règle de la Loi dans les
matières
mentionnées ci-
dessus et donc, n'est pas légitime ;
- tout organe (agence,
département,
ministère) gouvernemental
abuse la la bourse publique et j'ai constaté là
où
l'abus est grave
il y a de pair l'exploitation sexuelle de la femme notamment dans
les hôpitaux, mais ça touche aussi les femmes qui
travaillent au
Gouvernement par le biais des agences de personnel temporaire
et veulent que leurs contrats soient renouvelés. Ce
phénomène
affecte aussi les fonctionnaires du sexe féminin qui
cherchent
à
s'avancer : l'heure est venue pour le dénoncer ouvertement ;
- le Gouvernement ne doit
pas payer
pour
avorter les bébés : ça
coûte
trop cher ( 600 $
par avortement) et contribue de façon
négative à la dénatalité du
pays. Chaque
bébé mis à mort doit
être remplacé par un immigrant, un
étranger qui
veut s'installer
au Canada de façon permanente. Il serait plus avantageux
pour
le Gouvernement d'encourager l'adoption qui permet un rapport
entre la mêre biologique dès sa naissance pour
toute sa
vie.
Je veux que l'Église catholique du Canada
français dont
je suis membre
et dans laquelle je fus baptisé à Hearst dans le
Nord de
la province de
l'Ontario me dépanne.
D'abord, en tant qu'adhérent à la
théologie de la
libération issue
d'Amérique latine, l'Église pour être
fidèle
à soi-même doit agir
en solidarité avec les pauvres, les opprimées
d'une part
et dénoncer
l'injustice sociale d'autre part si Elle ne veut pas être une
église du
gendre bidon.
Primo, ce qui me préoccupe le plus est le viol de ma femme
au
travail en Été 1984 et son exploitation sexuelle
par la
suite. Lorsque
j'ai pu bien comprendre sa situation bien des mois après, je
lui
ai
dit de porter des chefs d'accusation devant la Police. C'est
à
ce
moment quant à moi que son patron, Danis Buchanan, a
monté
une série de coups contre moi en se servant d'elle qui
culminèrent
dans mon incarcération dans l'Hôpital Royal
d'Ottawa pour
une
évaluation psychiatrique de 30 jours sans avoir eu des
antécédents
de l'ordre psychiatrique dans toute ma vie.
Par la suite, mon ex-épouse suivant des conseils des gens
autour
d'elle, j'imagine, s'en est servi de ce "faux" rapport psychiatrique
pour annuler notre mariage. (Voir Prot. N. 16678) L'annulation de
mariage a pris sept (7) ans au lieu de six mois à
un an et
démi
d'habitude. Ceçi m'indique à quel point l'affaire
est
louche.
Depuis 15 ans malgré les ordonnances de la cour, je n'ai
presque
pas vu mes enfants. Pendant un période de cinq (5) ans j'ai
informé
les pasteurs de Sacré-Coeur, ma paroisse dans le
Côte-de-sable
ici à Ottawa de ma situation intenable. Ils n'ont rien fait
pour
moi.
J'ai tenté d'avoir recours par la suite à mon
évêque, Mgr Gervais,
qui ne voulait rien savoir de moi. Le Pro-Nuncio a obligé
l'évêque
auxiliare d'alors, Mgr O'Brien, de me parler. Il m'a dit qu'il
était prêt
à prier pour moi et rien d'autre même si je ne
voyais pas
mes trois
(3) enfants. Tout ceçi me laisse à croire que
l'Église locale est une
église apostate.
Par ailleurs, le Pêre LeMarier, mon pasteur et ancien
théologien
de l'Université St-Paul qui a créé une
bourse
d'étude en son nom
a refusé de me rendre visite à
l'Hôpital Royal
d'Ottawa prétextant
qu'il avait un jeune prêtre qu'il fallait former.
Certes, on ne peut pas annuler un mariage sous de faux
prétextes.
Impossible ! Le fait que ça a été fait
est une
autre raison de croire
que j'ai à faire à une église
irresponsable et
délinquante tout comme
le Gouvernement.
Je veux que les évêques exhortent mon
ex-épouse,
Agnès Van
Esbroeck, psychotechnicienne au Centre de réadaptation
d'aller
de l'avant avec les chefs d'accusation de viol et d'exploitation
sexuelle.
J'aimerais que vous en prenniez conscience de deux (2) choses.
D'abord, son patron, Danis Buchanan, faisait apparemment deux
emplois à la fois payés par le Gouvernement
provincial :
il se faisait
payé en tant que Chef du département de
psychologie au
Centre
de la réadaptation et en plus en même temps il se
filait
des patients
à son cabinet de consultation privé au Centre
médical à l'angle de
boulevard St-Laurent et chemin Symthe. Il a même
demandé
à mon
ex-épouse d'y travailler. Lorsqu'elle m'a demandé
mon
conseil d'y
travailler ou pas, j'ai dit non car elle est une employée
uniquement
du Centre de la réadaptation. Maintenant, au fait tout
récemment,
le Centre de réadaptation fait partie de l'Hôpital
d'Ottawa. Avant ça,
il faisait partie de l'Hôpital Royal d'Ottawa, une
institution
pour les
patients psychiatriques.
Deuxièment, il semble avoir un rapport entre le
propriétaire d'une
compagnie pharmaceutique qui s'est porté acheteur de
l'équipe
d'hockey, les Sénateurs, et la prolongation de
l'Hôpital
Royal de
plus de 100 000 000 $. La commission sur la santé mentale de
l'Ontario y compris l'association des ex-patients psychiatriques
veulent s'en défaire et remplacer de tels hôpitaux
désuets avec
une chaîne d'abris pour les patients psychiatriques
où ils
puissent
trouver refuge et l'aide. Cependant, ce revers de la
médaille
n'a
jamais été reporté dans les
médias. La
prolongation va être payée
par le secteur privé qui va la louer au Gouvernement
à un
prix élevé.
Ça va permettre aux compagnies pharmaceutiques d'insister
auprès
des psychiatres de promouvoir l'approche médicamenteuse qui
fait
grossir leurs bénéfices tandis que les
associations
d'ex-patients
psychiatriques ne veulent pas que cette approche soit arbitrairement
imposer faute d'une alternative. Ce que le public ne sait pas aussi est
que ces hôpitaux permettent aux psychiatres de trouver des
patients
pour tester de nouveaux produits pharmaceutiques et en retour les
psychiatres empochent de gros sous. En outre, le système
public
d'assistance sociale encourage un assisté social qui
reçoit 520 $
le mois de se déclarer patient psychiatrique pour recevoir
900 $
à
condition qu'il ou elle prenne 700 $ en médicament
psychiatrique
payé par la province. Ceçi favorise
indûment les
compagnies
pharmaceutiques au détriment de la santé de
l'assistésocial. Je
crois que les compagnies pharmaceutiques encouragent les propri-
étaires des foyers pour personnes âgées
de bourrer
les personnes
âgées de médicaments. En somme,
l'Église
doit demander un
enquête publique à l'égard des
pratiques de
promotion d'usage
de produits pharmaceutiques.
Secundo, je touche en prestations d'assurance chômage 648 $
clair
le mois. Le Gouvernement enlève 50 % en pension alimentaire.
Il
me
reste seulement 324 $ tandis que l'assistance sociale donne
à un
individu 520 $. C'est tout à fait dégueulasse !
Mon
ex-épouse gagne
environ 50 000 $ par année et n'a pas besoin d'allocation
familiale.
Si le Gouvernement n'est pas prêt à m'aider de
vivre
convenablement,
je dois demander d'argent de l'Église catholique du Canada.
Si un ou tous les évêques font fi de ma demande je
les
anathématise
en vertu de l'authorité qui m'est
conférée en tant
que baptisé. Que le bon
Dieu leur cache son visage et enraye la mémoire de leurs
familles.
Puisons la gloire et la joie de Celui qui nous aime.☺
Kenneth Sélin
~~~
B.A.(Psychologie),
B.A.(Espagnol),
B.Admin.,
B.Comm.(Spécialisation),
B.A.(Italien)
magna cum laude
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704-125, rue Stewart
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du Parti Égalité du Canada
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